Après un dernier ponçage à quelques endroits où l'enduit présentait des petits défauts, nous avons peint sur les murs et le plafond la couche d'impression, ou sous-couche plâtre.

Nous avons commencé par poser une bâche de protection au sol, ainsi que des feuilles de journaux glissées jusque sous les plinthes.

Nous avons profité de cette occasion pour essayer le pistolet à peinture murale Bosch PFS 150 E Wallpaint, qui fait l'objet actuellement d'une campagne de test par une dizaine de bloggers sélectionnés parmi la communauté des membres du site le-coin-des-bricoleurs.com. Nous avons donc eu la chance de faire partie de ces privilégiés ayant reçu l'appareil gratuitement pour le tester.

Le test complet de ce pistolet à peinture va être publié prochainement sur le blog.

En fait, il n' a pas été très évident de se faire la main en peignant de la peinture blanche sur un mur blanc.... on a donc repris notre traditionnel rouleau et la brosse à rechampir pour les angles.

Voici la peinture utilisée comme sous-couche :

C'est cette peinture d'impression que nous avons déjà utilisée pour le salon, le bureau et ses placards notamment.

Nous avons donc peint, et les murs, et le plafond, et les plinthes :

Il vaut mieux commencer par le haut, de manière à corriger d'éventuelles coulures tombées du rouleau. L'application est un peu fatigante car l'enduit "boit" énormément, mais celle des couches de peinture suivantes n'en sera que plus aisée.

Voilà la vue opposée; les murs commencent à bien blanchir au fur et à mesure du séchage :

Pour la porte, on verra plus tard. On ne s'est pas encore décidé pour la couleur finale.

Il est grand temps de commencer le ponçage du parquet, après l'arrachage de la moquette la veille, lors de cette rénovation d'une chambre au second étage de la maison.

Evidemment, sous la moquette, il y a cette couche de ciment de réagréage... comme pour le bureau adjacent, rénové lors de la saison 4.

Pour retirer la couche de ciment et poncer le parquet dessous, on a de nouveau loué une ponceuse à bande spécial parquet de type professionnel :

Ainsi qu'une bordureuse (ponceuse à disque) pour les bords :

On commence par débarrasser le plancher. On revient et on fixe les feuilles abrasives sur les machines, comme ici pour la ponceuse à bande :

Ou là pour le disque de la bordureuse :

La poussière de ciment est extrêmement fine et envahissante, alors on a pris nos précautions, avec une combinaison en polypropylène, que l'on n'a absolument pas regrettée malgré la chaleur interne de type tropical :

On ponce alors en passes croisées, d'abord avec du grain 24 pour le ciment, puis grain 40, 80 et 120 pour le parquet, en terminant toujours dans le sens des lames, c'est à dire des fibres du bois. Il faut aspirer régulièrement, surtout après le décapage du ciment qui n'est pas très bien aspiré par les machines.

Voici une courte vidéo de démonstration du ponçage après avoir retiré le plus gros du ciment (nuage de poussière trop épais avant...). Il faut baisser le rouleau tout doucement et toujours en avançant sous peine de creuser et marquer le parquet : 

Voilà après le dégrossissage grain 40 :

Après avoir bataillé près de 6 heures, du sang, des cris, de la sueur et des larmes..., on ne se rappelle plus très bien comment on s'appelle... (Portoriko... ?, Meksiko ... ?).

En fait pas de sang. Ni de larme. Enfin si... toutes les nombreuses fois que le sac d'aspiration de la sciure s'est désengagé en explosant de poussière !